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Sujet: Un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers • Jamie Lun 19 Mar - 15:57
JAMIE SIMON COOK
13 Juin 1984 Ϟ 27 ans mais toujours 3 ans d'âge mentalϞ Musicien/compositeur Ϟ Roseneath Ϟ classe pauvre Ϟ Ryan Gosling Ϟ Twist Hook Ϟ Tumblr
Who I really am
Bonjour, moi c'est Georgette, j'ai 75 ans j'aime la vie et le jardinage. De temps à autre il m'arrive de tricoter.
BLAGUE, j'ai en réalité 20 ans, je suis une fille, je suis un peu con-con sur les bords. J'aime dire de la merde parce que ça m'évite d'être constipée *zbaf*
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Jamie S. Cook
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Sujet: Re: Un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers • Jamie Lun 19 Mar - 15:58
What's inside my head
Drôle Ϟ J’ai un humour particulier, je sais, mais au moins j’arrive à faire rire. J’aime faire le con, dire de la merde, même si mes conneries n’ont par moment tendance qu’à amuser que moi. J’ai parfois l’impression d’être un vrai gamin, un gamin qui n’a jamais vraiment réussit à grandir.
Violent Ϟ Je n’a jamais vraiment sut garder mon sang froid. C’est quelque chose que je n’arrive pas à faire. J’ai cette capacité à me foutre dans la merde, mais royal, ce pourquoi je me retrouve toujours coincé au milieu de bagarre avec des types plus ou moins chelou, mais ils n’ont cas pas venir me chercher aussi !
Inventif Ϟ J’ai l’âme d’un artiste, et a une imagination sans doute débordante. Ce qui est un plus pour mes musiques puisque je ne manque jamais d’inspiration. J’ai toujours eu l’esprit créatif que je fais ressortir grâce à mes morceaux.
Agressif Ϟ Je ne suis pas toujours très aimable avec ceux que je ne connais pas, à vrai dire je n’ai jamais vraiment eu la langue dans ma poche et suis parfois vraiment très impoli avec les gens. Je devrait peut être faire du yoga pour me calmer. Mais moi vous savez, les gros mots c’est un peu comme des mots de liaisons, dur de s’en débarasser.
Débrouillard Ϟ Je vis seul depuis des années, et malgré tout j’ai toujours réussi à m’en sortir. Même si j’ai eu quelque période à vivre dans la rue, à être obligé de mendier, mais quoi qu’il arrive, j’arrive toujours à me débrouiller pour pouvoir me procurer de quoi vivre un minimum décemment.
Névrosé Ϟ Je suis un peu à côté de la plaque, on me prend pour un fou, et je crois que je le suis un peu. J’ai du mal à m’en rendre compte en fait, mais j’ai des problème, et je pense que de toute façon tout ça c’est à cause de la malédiction, c’est elle qui me rend comme ça.
Infidèle Ϟ ça fait depuis le lycée et donc Effie que je n’ai eu aucune relation vraiment stable. La faute à qui ? A moi. J’arrive pas à me caser, j’arrive pas à rester avec la même fille plus de deux jours. C’est con à dire, mais dès que je suis avec une, même si je suis bien, je peux pas m’empêcher d’aller voir ailleurs. Pourquoi ? Parce que je suis un gros con, voilà !
Protecteur Ϟ J’arrive pas à m’occuper de moi, pourquoi il faut toujours que je veuille m’occuper des autres et que je veuille les protéger. Surtout les filles. Encore plus si elles sont mignonnes. Mais je ne supporte pas que l’on s’en prenne au plus faible, ce pourquoi je défend ceux dans le besoin, je veille au grains à quiconque essaye de semer la panique dans mon quartier !
When I was young I was a Jedi
Deuxième d’une fratrie de trois garçons, j’étais l’enfant du milieu, celui qui ne faisait jamais rien et qu’on remarquait le moins. Mon grand frère Brandon était le turbulent de la famille, toujours à faire des conneries et à s’embarquer dans des plans un peu foireux. Il ne se passait jamais une semaine sans qu’il ne fasse du souci à mes parents. De 5 ans mon ainé, il n’était cependant pas un très bon exemple à suivre. Le petit dernier, Keith, avait quand à lui 2 ans de moins que moi, c’était le petit prodige de la famille, qui faisait rire tout le monde. Mes parents étaient vraiment très fier de lui, et moi je savais que ce p’tit irait très certainement très loin ! A côté de mes deux frères, j’étais un peu invisible, rêveur et timide, je ne parlais pas beaucoup et ne me faisait très certainement pas autant remarquer qu’eux. J’étais pour mes parents toujours très sage, et essayait de ne pas leur apporter trop de soucis, ils en avaient déjà suffisamment avec Brandon et leurs problèmes d’argent.
En effet je suis né et j’ai grandit dans un quartier pauvre. Ma foi, je ne voyais pas ça comme une ironie du sors, j’étais même plutôt heureux comme ça. Après tout je n’avais pas à me plaindre, j’avais des parents formidables, qui m’aimaient et que j’aimais en retour et des potes géniaux. Et puis quand je voyais les riches, je ne voulais pas devenir comme eux. J’étais beaucoup mieux dans mon monde, ce monde fait de rêve, d’espoir, de joie. Naif et souvent dans la lune, j’étais ce gamin rêveur, qui rêvait un jour de partir, faire de grande chose, s’imaginant par moment vivre dans un autre monde. Un monde où il n’y aurait pas de problème, un monde où mes parents pouvaient avoir tout l’argent qu’ils désiraient,où mon frère ne ferait plus ses conneries, où j’y mettrais tout mes amis et où on serait tous heureux. Je n’avais pas vraiment d’ambition, si ce n’était que faire fonctionner mon imagination débordante. C’est ce que font tout les artistes après tout, car oui, j’en étais un et je le sus très tôt. Les seules matières dans lesquelles j’excellais à l’école, c’était les arts plastiques puis la musique. J’ai l’âme d’un artiste moi je vous dis. C’est en trouvant une vieille guitare à la brocante, âgé d’à peine 9 ans que je me disais que j’étais fait pour la musique, ou plutôt c’était elle qui était faite pour moi. Pas besoin de prendre des cours – et puis de toute façon j’avais même pas les moyens – je savais déjà manier l’instrument aussitôt que je l’eu dans les mains, même si au fil du temps j’appris à me perfectionner avec. Mes parents souriait quand je leur disais que plus tard je serais chanteur ou musicien, s’ils ne pensaient pas cela possible, moi je voulais les persuader du contraire !
« Plus tard je serais un musicien, célèbre et tellement riche que je t’achèterais tout ce que tu voudras. » Cette après midi là je m’en souviendrais toujours. Pourquoi ? Parce que j’étais tout simplement heureux, et bien tellement bien ! J’avais 14 ans, j’étais jeune, il faisait beau et j’étais sortit avec Gillian dans les champs. « Et bien sur on se mariera ! » Je ne sais pas si je voyais déjà les choses en grand, mais j’étais jeune, un peu con peut être, trop sans doute ? Gillian était ma première petite amie, la première fille que j’ai embrassé, la première fille qui a fait battre mon cœur, j’étais tellement bien avec elle que j’aurais bien aimé que le temps s’arrête, que l’on reste ensemble pour toujours et surtout que l’on ne grandisse jamais. Elle était la plus belle fille du collège, je ne savais pas trop ce qu’elle me trouvais, moi qui était si introverti, timide, et qui n’avais rien de particulier, et pourtant c’était vers moi qu’elle s’était tournée. On dit toujours que les amours de jeunesse sont les plus beaux, je ne sais pas si c’est vrai, mais en tout cas, à chaque fois que j’y repense c’est avec le sourire. 13 Novembre 2001, Roseneath
Ce jour là, c’était comme si ma vie c’était arrêté, comme si tout mon beau monde s’effondrait, tout était en train de changer. La vie n’était pas rose en fin de compte, la vie c’était de la merde. Mes parents étaient provisoirement partis s’installer à l’étranger, espérant y faire fortune alors que Brandon s’était chargé de Keith et moi. Je rentrais avec mon petit frère des cours, l’hiver n’étaient probablement pas loin car il commençait déjà à faire très froid, le vent soufflait. Lorsque j’aperçu plusieurs voitures de policier devant notre maison, je compris rapidement que quelque chose de grave s’était passé.
Etes-vous Jamie Cook ? » Me demanda un agent alors que j’articulais difficilement un « oui ». « Avez-vous des oncles, des tantes, de la famille que vous pourriez contacter ? » « Euh non, je n’ai que mes parents… Ils sont en voyage. Et mon grand frère doit encore être au travail à cette heure là. » Le policier regarda son collègue, lui murmurant quelque chose que je ne comprenais pas. Je ne savais pas ce qu’il se passait, mais à partir du moment où le policier repris la parole, le temps c’était arrêté. « Ecoutez jeune homme, je suis désolé de vous annoncer cela comme ça, mais vos parents sont morts dans un accident d’avion. Leurs corps ont été identifiés… » Le choc était brutal, je n’arrivais plus à parler, respirer, ni rien faire. Aucun son n’arrivait à sortir de ma bouche, l’air me manquait, je suffocais de l’intérieur. « Vous direz à votre frère que nous avons besoin que quelqu’un aille confirmer l’indentification des corps à l’autopsie, c’est la procédure en place, je suis désolé il faut que… » L’agent continuait à me parler, il parlait dans le vent. Je n’écoutais rien, n’entendais rien, j’avais juste envie de crier. Morts ? Comment mes parents avaient put mourir ? Eux qui étais si gentil, qui priaient souvent Dieu pour que rien ne leur arrive, pourquoi ça leur était arrivé à eux ? Comment ça avait put se produire ? Ce genre de chose n’existait pas normalement dans mon monde.
J’aurais aimé que ce jour n’arrive jamais…
There are places I remember
A la mort de mes parents, je me serais presque qualifié de locque humaine. J’étais prêt à tout envoyer ballader, mes amis, ma famille – ou ce qu’il en restait du moins. Cependant, mon grand frère avait déjà eu cette idée à ma place, se barrant et me laissant seul avec Keith. Keith que je préférais éloigner de moi, il était encore jeune à l’époque, je ne voulais pas lui imposer mes crises de nerfs et mon comportement. J’étais en train de péter un câble. Ce genre d’événement, ça change la vie, et puis ça change les gens. Je n’étais plus le même. Agressif et violent, je ne voulais aimer plus personne, plus jamais m’attacher, pour ne plus jamais souffrir comme je le faisais. Persuadé quand étant seul, je me sentirais mieux, je me suis mit à délaisser Gillian, qui ne m’aidait pas vraiment de toute manière. De toute façon, je me disais que nous étions beaucoup trop jeune à l’époque, lorsque nous étions ensemble, elle ne pouvait pas à mon âge représenter quelque chose d’important. « Casse-toi, laisse moi tranquille, je ne veux plus te voir, tu n’es absolument rien pour moi. » Enervé, en colère, je lui avais balancé toutes ces énormités pour mettre fin à notre pseudo histoire. Je crois bien qu’elle a été la première victime de mes états d’âme de dépressif, elle qui pourtant aurait été la mieux placée pour me comprendre… Avec le temps, il m’arrive par moment de regretter de l’avoir quitté de cette manière, mais je n’étais sans doute pas assez mur à l’époque pour gérer tout ça.
Hanté par de vieux souvenir, je vivais toujours seul dans notre ancienne habitation. Le peu d’héritage que j’avais eu de mes parents me permettais tout juste de me nourrir. Il m’arrivait souvent de ne pas manger, pendant plusieurs jours. Trouvant parfois refuge dans la vieille barque espérant que cet endroit m’éloignerait de tous les mauvais souvenirs que je contenais dans ma maison. Les artistes ont-il une âme maudites ? En tout cas c’est dans la douleur et la peine que je réussis à composer mes meilleurs morceaux. Dans la nuit, bercé par le bruit des vagues, j’avais parfois l’impression d’entendre des voix, des voix qui me disait que cet endroit aussi était maudit, frappé d’une sorte de malédiction. En plein délire, je ne savais pas si c’était réel ou pas, mais en tout cas j’y croyais. Mes parents n’aurait jamais du quitter la ville, c’était pour ça qu’ils en étaient mort. Et il en arriverait de même à tout ceux qui déciderait de s’enfuir. Grandissant au beau milieu de légende, où elles ne sont pas rares ici à proximité du Loch Ness, je croyais fermement à ces histoires. Personne ne devrait quitter Roseneath.
Et voici comment les rêves sont devenus cauchemar…
Je haissais tout ceux qui voulait partir. Mais heureusement, je savais que quelqu’un serait toujours avec moi, Effie. Elle ne me prenait pas pour un fou, et me comprenais parfaitement, c’était pour sa que sa présence m’apaisait tellement. Elle était la seule personne qui ne me prenais pas pour un névrosé et moi en aucun cas je ne la trouvais flippante ou étrange. Ou alors nous étions deux. Nous étions au lycée, voilà deux ans que mes parents venais de mourir, et j’essayais de me remettre de se drame comme je le pouvais. C’était dur, mais c’est comme si Effie était un peu ma lumière, celle que je parvins à trouver dans l’obscurité. Je ne sais pas vraiment ce que c’était l’amour, tout c’était tellement mal terminée avec Gillian, mais j’avais brusquement l’impression de le comprendre lorsque je prenais Effie dans mes bras et que nous passions des heures entières à se parler dans la petite barque au bord de l’eau. « Promet-moi de ne jamais partir. » Lui avais-je demandé alors qu’elle avait acquiescer, je ne voulais pas qu’elle finisse comme les autres, et elle m’avait fait cette promesse que j’espérais qu’elle tiendrait. Et puis ses « dons » j’étais probablement le premier à y croire. Sans doute parce que cela me rassurait, ça me rassurait de savoir qu’elle ne partirait pas, et qu’on resterait tout les deux ici… J’avais l’impression qu’on était des âmes sœur, que l’on ne se quitterait pas et que maintenant tout allait aller mieux.
Et pourtant, ce fut un véritable choc pour moi d’apprendre sa maladie. Finalement, elle ne me comprenait pas, elle s’était même joué de moi, du moins c’est ce que je m’étais dis. Joué de moi en me mentant sur mon avenir, notre avenir. Comment j’aurais put aller mieux si elle ne faisait que déformer la réalité ? Je savais que j’aurais du me prendre en main, et seul, mais j’étais encore bien trop déboussolé pour y arriver, ce pourquoi j’avais tant besoin d’elle. J’étais en colère, très. Je ne comprenais pas comment elle avait put me faire ça. Amère, notre rupture se passa très mal, si habituellement avec elle j’étais gentil et doux, ce n’était plus le cas. Je lui avais crier dessus, avant de partir, partir me bourrer la gueule à la fête de fin d’année du lycée. C’était notre adolescence qui était en train de se finir, beaucoup d’entre nous allais partir, et je n’acceptais définitivement pas cette idée. Je ne voulais pas qu’en partant, mes amis meurent, je savais qu’ils n’en reviendraient pas. « Gillian écoute moi, et reste là. Je t’en prie ! » J’avais beaucoup bu ce soir là, et elle aussi, pourtant je me souviens parfaitement du moment où j’ai attiré la belle Gillian dans un coin pour la supplier de ne pas s’en aller. Je savais qu’elle projetais depuis toujours, ou du moins très longtemps de s’en aller. Je n’avais jamais accepté cette idée, ce pourquoi ça c’était mal terminé entre nous. Mais l’idée de la perdre et qu’elle rejoigne mes parents était ma plus grande crainte, je ne voulais pas que ça arrive, jamais. Mais pourquoi ça m’avait prit autant de temps pour le lui dire ? « Laisse-moi tranquille, lâche moi ! » Elle ne voulait pas me parler, c’était compréhensible, les rares fois où je lui avais parlé je n’avais pas été des plus agréable. « Je ne veux pas que tu partes ! Tu comprend ça bordel de merde ? Tu sais pas comment cette idée peut me faire mal ! » Enervé, a force de vodka, les mots coulaient tout seul avec une facilité déconcertante. Je ne sais pas combien de temps on était resté à cette fête, à se disputer comme on le faisait toujours, mais en tout cas au bout d’un moment, les tensions s’apaisèrent. Je ne sais pas comment, mais résigné, je finis par la prendre dans mes bras, comme si c’était la dernière fois que je pouvais la voir, la toucher, et l’entendre crier. Même ça ça me manquerait. Gillian avait toujours cette faculté de rendre mon esprit confus. Je la détestais tellement de s’en aller, mais pourtant, cela ne m’empêcha pas de finalement baisser toute les barrières que j’avais mises entre nous pour l’embrasser. Pas comme à l’époque où l’on était deux gamins, mais là comme un vrai baiser, un vrai baiser qui n’arriva guère à calmer mes ardeurs. J’avais tellement bu, que ni elle, ni moi n’avions eu aucun scrupule à coucher ensemble, mais alcool ou pas, je ne le regrettais pas, la serrant fort dans mes bras, espérant que comme ça elle ne s’en irait jamais.
Et le lendemain elle était partie.
C’était douloureux. Je ne faisait que penser à elle, après cette nuit, puis encore après, après et encore tout les jours. En une nuit, j’avais perdue Effie avec qui je venais de rompre, et j’avais perdue Gillian qui était morte à mes yeux. Du moins pour moi c’était certain, je ne pourrais pas la revoir vivante. Et pourtant j’eu l’idée de commencer à lui envoyer une lettre, comme si ça pouvait apaiser toutes mes pensées qui se tournaient vers elle, telle ne fut pas ma surprise qu’elle me réponde. Une fois, puis une autre, et encore une autre. C’était tellement cruel de sa part. Comment pouvait-elle me faire ça ? J’étais certain qu’elle ne pourrait jamais revenir près de moi, et pourtant elle continuait de m’écrire, et moi de m’attacher encore plus à elle, à m’accrocher à son souvenir. C’était comme si j’entretenais un rapport particulier avec les morts, peut-être était-ce la malédiction ? En tout cas même depuis la mort de mes parents, j’ai l’impression qu’ils sont là par moment, je rêve d’eux, je rêve d’elle, j’entend leur voix je sais que c’est pour me prévenir de ne jamais partir, ne jamais quitter cet endroit.
Et je ne l’ai jamais quitté. Finalement, Roseneath est peu être bien mon seul amour. Enfin avec mon chien que j’ai décidé d’adopter afin d’éviter la solitude. Je l’ai trouvé sur le bord de la route, prêt à s’enfuir, heureusement j’ai finis par lui sauver la vie. Personne ne doit partir, pas même les animaux. Même si aujourd’hui, pas mal de la bande son partit, moi je suis toujours là. Tant bien que même j’aurais cruellement besoin de partir, loin, afin de percer dans la musique et réaliser mes rêves. Mais la malédiction m’en empêche, alors en attendant, je continue ma petite vie, je joue dans des bars le soir, je crée, je compose, je vie pour ma musique. Je ne suis pas riche, mais en attendant j’arrive à me trouver un minimum de quoi vivre comme ça, et ça me convient. Je ne demande pas plus, pas moins, de toute façon je sais très bien que mes rêves ne sont pas possible, ils ne se réaliseront jamais, je l’ai bien compris.
Dernière édition par Jamie S. Cook le Lun 19 Mar - 19:51, édité 3 fois
Sujet: Re: Un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers • Jamie Lun 19 Mar - 16:20
Allez si t'es d'accord, je suis d'accord, je suis sur qu'on peux s'arranger pour notre lien, après tout y'a du malsain dedans AHAH ton titre
Rosamund Hemingway
" Il n'y a plus rien de commun entre moi et ceux qui craignent les brûlures. "
→ Crédits : LILOO_59 adorée ♥ → Messages : 244
Sujet: Re: Un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers • Jamie Lun 19 Mar - 16:25
RYAN BIENVENUE PARMI NOUS c'est un magnifique choix de personnage que tu as là, hâte de voir ce que tu vas en faire (:
Invité
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Sujet: Re: Un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers • Jamie Lun 19 Mar - 16:32
excellent choix de personnage bon courage pour ta fiche c'est moi ou il a une énooooooorme tête sur ton vava Ryan ? j'irais sûrement quémander un lien
Jamie S. Cook
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Sujet: Re: Un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers • Jamie Lun 19 Mar - 16:40
Merci Kellyan pour l'accueil !
Morgan y'a toujours moyen de s'arranger oui *va déjà faire passer son perso pour un gay, c'est mal *
Merci Rosamund pour l'acceuil, avec la jolie Emma en plus
Úna, merci toi aussi ! Et pour la grosse tête, je justifierais ça par le fait que Jamie en a beaucoup dans la cervelle ça sera avec plaisir pour un lien !
*s'attaque à sa fiche au lieu de faire son bavard*
Invité
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Sujet: Re: Un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers • Jamie Lun 19 Mar - 16:42
je trouve cet avatar de plus en plus étrange la tête ok, mais justifie moi le chien ? ouai ouai je m'en vais bon courage pour ta fiche et j'aime ton titre
Citation :
J'aime dire de la merde parce que ça m'évite d'être constipée *zbaf*
j'adore
Jamie S. Cook
→ Crédits : J'en ai plus, tu me prête ton portable ? → Messages : 47
Sujet: Re: Un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers • Jamie Lun 19 Mar - 16:46
Arrête il est trop meugnon le chien *gaga devant un animal* en plus j'aimerais bien être à sa place
Sujet: Re: Un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers • Jamie Lun 19 Mar - 20:05
C'est parfait tu m'as fait rire, tu m'as fait presque pleurer, tu as parfaitement bien cerner le personnage. J'aime bien ton style, bref c'est génial
VALIDATION
Voilà, tu as fait le plus dur pour pouvoir rp sur notre fabuleux forum -et on est modeste si si !-. Tu es donc validé avec plaisir, cependant n'oublie pas de faire certaines petites choses qui te prendrons quelques minutes histoire de bien commencer ton intégration. La première recenser ton avatar. Ensuite, tu peux faire une demande de logement et/ou une demande de rang. Par ailleurs, tu auras besoin d'amis/ennemis/amants, ce que tu veux, donc n'hésite pas à faire un tour du côté des fiches de liens et si ce n'est pas suffisant pour toi, tu peux toujours te créer un scénario, voir plusieurs. N'oublie pas non plus de compléter ton profil. Et bien sur pour que notre petit forum grandisse n'hésite pas à faire de la pub pour nous . Pour finir, notre boite mp est ouverte, donc n'hésite pas à nous contacter en cas de problème. Bon jeu parmi nous !
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Sujet: Re: Un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers • Jamie
Un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers • Jamie